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laborde

CHRONOLOGIQUEMENT :
1- Pourquoi NE PAS COMMENCER par le re-positionnement de la lèvre supérieure?,
2- Pouquoi NE PAS RÉALISER la freinectomie?
3- Pourquoi SACRIFIER un grande partie du tissu kératinisé, que vous même, VOUS QUALIFIEZ de très important) ?
4- Pourquoi ÉVITER un lambeau re-positionner apicalement classique, avec correction de l’éruption passive altérée, qui permettrait de conserver tout le tissu kératinisé ???
Bref, « POURQUOI METTRE LA CHARRUE AVANT LES BOEUX » ????

Gérard DUMINIL

Mon cher Gilles, un commentaire aussi catégorique me surprend de ta part. Même si des alternatives pourraient être utilisées, la technique utilisée dans ce cas aboutit à un résultat satisfaisant pour la patiente.

L’expérience nous a appris que la démarche thérapeutique d’un praticien correspond à la mise en œuvre de moyens qu’il connait et maîtrise le mieux, ce qui est le cas dans la situation présentée.

Cependant, pour mieux étayer ton propos Gilles, pourrais-tu nous présenter un cas similaire que tu aurais traité comme tu le suggères ?
La discussion pourrait alors s’ouvrir sur le rapport bénéfice/risque des deux options proposées, et cela dans un esprit de partage des connaissances, comme c’est l’usage dans idWeblogs … »

laborde

Salut Gérard,
Ce que je discute, ceux sont les séquences de traitement qui font perdre du tissu kératinisé (qui est le garant du résultat à long terme) et pas le traitement lui même……
De façon rapide, je peux fournir un cas d’élongation coronaire avec gingivectomie, où je disposais d’une bonne hauteur de tissu kératinisé, en présence d’un sourire gingival.

Pour les cas de re-positionnement apicaux du lambeau, j’ai besoin de temps pour rechercher dans mes archives, d’autant plus que j’ai perdu beaucoup de docs suite au vol de mon véhicule en novembre 2015 avec mon ordi et mes sauvegardes.

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