Digital prosthesis in implantology #3
VIDEO
Voice : Claire Laurencin
The conception of the prosthesis by the prosthodontist on the virtual cast requires a training and a clinical learning curve.
Despite this restraint, what are the advantages of such a technology for you ?
Despite this restraint, what are the advantages of such a technology for you ?
Commentaires
Merci pour ce joli cas.
Le premier intérêt est la brièveté de la procédure, la pose de la prothèse peut avoir lieu dans la journée si non dans la demi-journée.
Le second intérêt est le contrôle donc l’augmentation de la qualité apportés par le grossissement et l’analyse des surfaces et des contre-dépouilles qui autorise des retouches immédiates et participent à l’apprentissage de meilleures préparations.
Toutefois, dans ce cas où les implants semblent avoir chacun une longueur raisonnable et où l’image de la densité osseuse n’est pas alarmante, je me pose la question de l’intérêt d’un bridge par rapport à ds couronnes individuelles, plus faciles d’entretien même si la finition initiale des points de contact est plus délicate.
Merci par avance de votre réponse.
le message de la video dit, que cette conception qui me semble tres interessante necessitte une formation clinique et technique aussi.
ma question est, elle est donne par qui et comment ??
et le message dit aussi, l apprentissage des courbes!!
de qu elle courbes s agit il !!
pour moi , le grand avantage , je suis le maitre a bord sur l ensemble du projet et de la maitrise du budjet pour le patient
Je m’intéresse fortement à la cfao, en particulier au monde industriel autour de ce domaine.
Mon impression est que cette industrie a développé certaines solutions fantastiques en particulier au niveau de la précision mais qu’au niveau esthétique, elle n’a pas encore développé la solution idéale.
OK pour le cas présenté en posterieur, mais qu’en serait-il pour une solution implantaire sur des dents plus visibles telle qu’une 11 ? Une Emax maquillée ???
Je pense que si demain l’industrie de la CFAO intègre un procédé permettant de réaliser également par CFAO les couronnes stratifiées, alors on aura nous dentistes une vraie solution parfaite quelque soit le cas avec tous les avantages de l’empreinte numérique et de la fabrication prothétique par CFAO (précision, passivité, controle préalable de la morphologie, etc…).
Pour moi, un cas comme celui présenté, ce serait pose des piliers et mise en place d’un provisoire (réalisé par cfao en même temps que les piliers, ce qui est tout à fait faisable), puis pose de couronnes stratifiées réalisées par le proto une semaine plus tard grâce à l’empreinte numérique 3D piliers en place.
La solution chairside (- de 3% d’adeptes en France) est trop longue pour la grande majorité des dentistes (sans parler du coût !).
Une empreinte optique 3D, une fabrication assurée par le prothésiste (le jour où ils pourront réaliser les céramiques stratifiées aussi par CFAO…), puis pose des couronnes par le dentiste, voilà selon moi la solution idéale dans l’avenir. Pas besoin d’investir dans une solution complète chairside (onéreuse et chronophage), juste une très bonne caméra 3D !
Cordialement, Jean Pierre.
Bonsoir,
Pour toto: pour ce qui est de la formation initiale, elle est dispensée à l’achat du Cerec (théorique, clinique et labo). Et effectivement, il y a une vraie courbe d’apprentissage ( d’ailleurs comme toute nouvelle technique apprise).
Pour sadahika: oui, on peut faire des couronnes unitaires au lieu d’un bridge avec Cerec.
Pour Jean-Pierre: on peut vraiment faire et maquiller autant qu’on veut avec un peu d’expérience avec Cerec. On peut même fabriquer soit même des piliers.
Bonne soirée