Première consultation #3
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Le serrage des mâchoires conduit la mandibule en intercuspidation maximale (OIM). La mandibule y est calée.
Pour un grand nombre de patients il existe un petit dérapage entre l’ORC approchée (mandibule détendue, sans pathologie articulaire) et l’OIM. Ce dérapage est en général bien toléré sinon physiologique. Lire la suite…
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Parmi l’ensemble des gestes cliniques pratiqués lors de l’examen occlusal ou des étapes du montage en articulateur, l’abord de la relation centrée est celui qui réclame une réelle expérience clinique. Le patient denté rejoint la position d’intercuspidie par des mouvements automatisés de son système neuromusculaire. Lire la suite…
La suite logique de l’utilisation d’un arc facial de transfert est le montage en articulateur du moulage maxillaire (Fig. 1). Lire la suite…
L’intérêt de l’utilisation d’un articulateur réside dans le fait d’avoir un appareil capable de simuler l’enveloppe des mouvements mandibulaires fondamentaux à des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Lire la suite…
Depuis que les maîtres de l’EBD et les psys patentés de l’odontologie ont décrété qu’il n’était plus possible d’affirmer scientifiquement que l’occlusion à une contribution forte dans l’apparition, l’entretien ou l’aggravation des DAMs (désordres de l’appareil manducateur), Lire la suite…
Vidéo : « La gouttière responsable de troubles? » Lire la suite…
Video « La position mandibulaire d’OIM est-elle cliniquement fiable ? » Lire la suite…