Cher Thierry,
Merci encore pour cette magnifique vidéo et ce cas clinique fort intéressant.
Nous avions déjà eu une discussion concernant ce type de trajet d’incision qui contourne la papille interimplantaire afin de la préserver, et que vous allez peut être gonfler si nécessaire lors d’une 2eme intervention si nécessaire par un conjonctif enfoui.
Je maintiens mes propos et trouve votre tracé très pertinent!
En analysant la vidéo, on voit que vous n’avez même pas fait d’incision de décharge en étendant votre incision en discal des canines:
Une question à ce propos: auriez vous pu, a posteriori, enlever la papille entre 22 et 23 pour repositionner plus coronairement le lambeau entre 22 et 23 afin de combler la récession sur 23? ( façon zuchelli) en ne faisant pas une incision droite mais en biais entre 22 et 23???
Concernant la récupération d’os de forage, il me semble plus intéressant en effet de mettre de l’os autogène au contact direct des spires implantaires visibles( = non enfouies) et de rajouter par dessus de l’os particulaire de type composite.
Je reviens plus précisément sur l’intérêt dans ce cas de l’os autogène:
L’os autogène, seul biomatériau vital contient des cellules et des facteurs de croissance associe les 3 propriétés que sont
l’ostéoconduction, l’ostéoinduction et l’ostéogenèse..
Cher ami merci pour ces commentaires.
En ce qui concerne le tracé d’incision, il m’arrive effectivement de réaliser un lambeau déplacé coronairement qui vient s’accrocher sur une papille desépithélialisée pour recouvrir une récession sur une dent collatérale au site. Cela n’a pas été réaliser ici, je ne suis pas sûr que c’était l’indication (voir la classification de Miller). Concernant l’utilisation d’os autogène, il apporte comme vous le soulignez, des cellules et des facteurs de croissance mais il doit toujours être mélanger avec un autre matériau pour apporter de la stabilité dimensionnelle au volume reconstruit. A notez qu’avec l’utilisation d’os allogénique, l’utilisation d’autogène me semble moins indispensable qu’avec une xénogreffe.
Cher ami merci pour ces commentaires.
En ce qui concerne le tracé d’incision, il m’arrive effectivement de réaliser un lambeau déplacé coronairement qui vient s’accrocher sur une papille desépithélialisée pour recouvrir une récession sur une dent collatérale au site. Cela n’a pas été réaliser ici, je ne suis pas sûr que c’était l’indication (voir la classification de Miller). Concernant l’utilisation d’os autogène, il apporte comme vous le soulignez, des cellules et des facteurs de croissance mais il doit toujours être mélanger avec un autre matériau pour apporter de la stabilité dimensionnelle au volume reconstruit. A notez qu’avec l’utilisation d’os allogénique, l’utilisation d’autogène me semble moins indispensable qu’avec une xénogreffe.
Commentaires
Cher Thierry,
Merci encore pour cette magnifique vidéo et ce cas clinique fort intéressant.
Nous avions déjà eu une discussion concernant ce type de trajet d’incision qui contourne la papille interimplantaire afin de la préserver, et que vous allez peut être gonfler si nécessaire lors d’une 2eme intervention si nécessaire par un conjonctif enfoui.
Je maintiens mes propos et trouve votre tracé très pertinent!
En analysant la vidéo, on voit que vous n’avez même pas fait d’incision de décharge en étendant votre incision en discal des canines:
Une question à ce propos: auriez vous pu, a posteriori, enlever la papille entre 22 et 23 pour repositionner plus coronairement le lambeau entre 22 et 23 afin de combler la récession sur 23? ( façon zuchelli) en ne faisant pas une incision droite mais en biais entre 22 et 23???
Concernant la récupération d’os de forage, il me semble plus intéressant en effet de mettre de l’os autogène au contact direct des spires implantaires visibles( = non enfouies) et de rajouter par dessus de l’os particulaire de type composite.
Je reviens plus précisément sur l’intérêt dans ce cas de l’os autogène:
L’os autogène, seul biomatériau vital contient des cellules et des facteurs de croissance associe les 3 propriétés que sont
l’ostéoconduction, l’ostéoinduction et l’ostéogenèse..
Cher ami merci pour ces commentaires.
En ce qui concerne le tracé d’incision, il m’arrive effectivement de réaliser un lambeau déplacé coronairement qui vient s’accrocher sur une papille desépithélialisée pour recouvrir une récession sur une dent collatérale au site. Cela n’a pas été réaliser ici, je ne suis pas sûr que c’était l’indication (voir la classification de Miller). Concernant l’utilisation d’os autogène, il apporte comme vous le soulignez, des cellules et des facteurs de croissance mais il doit toujours être mélanger avec un autre matériau pour apporter de la stabilité dimensionnelle au volume reconstruit. A notez qu’avec l’utilisation d’os allogénique, l’utilisation d’autogène me semble moins indispensable qu’avec une xénogreffe.
Cher ami merci pour ces commentaires.
En ce qui concerne le tracé d’incision, il m’arrive effectivement de réaliser un lambeau déplacé coronairement qui vient s’accrocher sur une papille desépithélialisée pour recouvrir une récession sur une dent collatérale au site. Cela n’a pas été réaliser ici, je ne suis pas sûr que c’était l’indication (voir la classification de Miller). Concernant l’utilisation d’os autogène, il apporte comme vous le soulignez, des cellules et des facteurs de croissance mais il doit toujours être mélanger avec un autre matériau pour apporter de la stabilité dimensionnelle au volume reconstruit. A notez qu’avec l’utilisation d’os allogénique, l’utilisation d’autogène me semble moins indispensable qu’avec une xénogreffe.