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Comments

eric

En effet, l’empreinte optique permet d’éviter la fracture des moignons de petit diamètre et longs. En revanche, je trouve que l’empreinte optique des faces interproximales très proches est un enfer. Là, en l’occurence, l’empreinte optique n’est pas un atout.

Gérard DUMINIL

Bonjour éric,
L’enregistrement des faces interproximales demande un peu plus d’attention, mais cela ne concerne que les dents voisines des préparations, où l’espace est quand même ouvert.
Il n’est pas indispensable d’enregistrer tous les recoins, la stratégie est différente de celle d’une empreinte classique.
Merci en tout cas de votre commentaire.
quelle caméra utilisez-vous ?

eric

J’utilise l’omnicam du Cerec.
Quand je parle de faces interproximales, je veux parler , en l’occurrence dans le cas que vous nous présentez, de la face distale du moignon préparé de l’incisive latérale et de la face mésiale de la dent adjacente qui servira de point de contact au bridge. Lorsque les surfaces sont trop proches l’une de l’autre ( et que les surfaces sont proches et très longues), c‘est un véritable défi technique que de les avoir avec la caméra.

Gérard DUMINIL

Bien sur Éric que cette zone est plus difficile à enregistrer, cependant, on a tout de suite la validation de la qualité ou de l’insuffisance de la reproduction de cette zone. Le patient peut fermer la bouche, et immédiatement on peut reprendre l’empreinte sur cette zone. Je n’ai pas encore été bloqué par ce genre de situation depuis que j’utilise l’empreinte optique. SI l’empreinte classique s’avère insuffisante (manque ou tirage pas toujours facile à évaluer) il faut reprendre l’empreinte dans son ensemble, donc désagrément pour le patient.

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